Après le succès de "Des
hommes sans femmes", Murakami renoue avec la forme courte. Composé de
huit nouvelles inédites, écrites, comme son titre l’indique, à la
première personne du singulier, un recueil troublant, empreint d’une
profonde nostalgie, une sorte d’autobiographie déguisée dont nous ferait
cadeau le maître des lettres japonaises.
Un homme, Murakami peut-être, se souvient que tous ces instants, toutes ces rencontres, anodines ou essentielles, décevantes ou exaltantes, honteuses ou heureuses, font de lui qui il est.
Un homme, Murakami peut-être, se souvient que tous ces instants, toutes ces rencontres, anodines ou essentielles, décevantes ou exaltantes, honteuses ou heureuses, font de lui qui il est.
Je l'ai vu arriver à la bibliothèque, un livre court (160 pages), je me suis dit que j'allais donner une deuxième chance à Murakami puisque 1Q84 ne m'avait pas réussi.
Mais voilà... je n'ai pas grand-chose à dire, à part que Murakami n'est pas pour moi. Je n'aime pas vraiment son rapport aux femmes, ce qu'il raconte ne m'intéresse pas particulièrement, le seul goût commun que nous ayons semble être les Beatles. Les nouvelles étaient inégales mais aucune ne m'a passionnée. En gros, je me suis ennuyée, mais avec un certain style...
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